La revanche de Florian.


Préambule...

Il m'a fallu chercher un peu, ou habitait Florian, mais comme j'avais un plan avec moi je sius quand même arrivé à l'heure devant son domicile.
Après un petit coup de sonnette, Florian m’ouvrit et me souhaita la bienvenue avant de m'inviter a monter à l’étage.
Il était vêtu comme quand je l’avais bondé, et, à ma surprise équipé aussi d’un harnais d’escalade
. Il me laissa quelques minutes dans une pièce histoire de me changer et me demanda ensuite de monter au second étage.
J’enfilais donc à mon tour un lycra, un sweat-shirt avec une cagoule attenante et une longue paire de chaussette recouvrant le bas de mon collant.
Une fois en tee, je montais le rejoindre.

Le second niveau était une mansarde haute d’un bon 4 mètre de haut en son milieu; Florian m’attendait avec un second harnais qui m’était visiblement destiné.
« Ce n’est pas compliqué a enfiler mais je vais quand même t’aider ! »
Une petite minute plus tard le harnais était en place et me soutenait le haut des jambes, les cuisses et le bas du dos.
Une corde d’alpinisme fut fixée au harnais; Mon geôlier m’expliqua que grâce à celà je découvrirais les joies de la suspension!

Un peu d'immobilisation.

Florian m’obligea a me recouvrir les mains d’une paire de bas pour éviter le contact avec la corde puis commença a me ligoter.
« Mets tes mains derrière le dos ! »
Je croisais mes mains derrière et mes poignets furent attachés prestement.
Une seconde corde d’une bonne quinzaine de mètres me lia les bras au corps, la corde était aussi reliée au harnais par des anneaux.
Une troisième corde lia encore mes bras et le haut de mes jambes.

« Tout va bien Serge ? »
Au moment où j’ouvrais la bouche pour répondre Florian y inséra une chaussette.
« Garde ta bouche fermée maintenant ! »
J’obéis et Florian appliqua immédiatement de la toile isolante sur le bas de mon visage s’assurant ainsi de mon silence pendant toute la séance.

Florian alla chercher un petit escabeau et le plaça au centre de la pièce.
Il m’invita a m’approcher et c’est à ce moment là que je vis que la corde reliant mon harnais passait au sommet dans une poulie et redescendais au sol ; Il en allait de même pour une autre corde qui allait servir à mon geôlier.

« Montes ! » m’ordonna t’il.
Comme j’hésitais un peu, il tira sur la corde d’alpinisme suffisamment pour me faire décoller du sol ; Je poussais un « mmmmm » de surprise.
« Allons prisonnier, un peu de bonne volonté ! »
Finalement je m’exécutais, et, au fur et a mesure que je grimpais, Florian tendait la corde de façon a ce que je ne puisse tomber.

Une fois les 5 marches franchies, Florian fixa la corde bien tendue a une extrémité de la pièce puis revint vers moi.
A l’aide d’autres cordes il me lia les jambes au dessus et en dessous des genoux et les chevilles ; J’étais maintenant totalement ligoté.

Florian alla chercher un de ses lycras et revint ` ma hauteur.
« On va encore un peu te confiner ! »
La cagoule attenante à mon sweat-shirt me recouvra aussitôt la tête puis le collant en lycra acheva de me couvrir le visage de sorte que seuls mes yeux n’étaient pas recouverts.
Un double nœud assura le maintient du collant autour de ma tête cagoulée.

L'envol.

Mon gardien monta à son tour les 5 marches de l'escabeau et fixa la corde d’alpinisme qui lui était destinée à son harnais et la tendit.
« Prêt pour le décollage Serge ? »
Un « mmmmm » d’hésitation fut ma seule réponse.
« Plies tes jambes ! »
J’obéis et je découvris pour la première fois les délices de la suspension.
Florian en profita pour repousser l’escabeau puis me dit de déplier mes jambes.
Bien évidemment je ne retrouvais pas le sol sous mes pieds.

Grâce aux harnais, nous étions tous deux à un bon mètre du sol, et, a voir son sourire, Florian était visiblement très satisfait de son travail.
« Tu m’en a fait voir de toutes les couleurs il y a quelques temps ; A ton tour maintenant ! »
Je réalisais parfaitement que ça allait être mon tour de passer à la casserole, et, je savais que je n’y échapperais pas!

Mon ami se plaça derrière moi et commença a me caresser les fesses en douceur.
Je poussa un petit gémissement de plaisir!
Lorsqu’il me pinça les fesses la première fois je répondis par un « mmmmmm » de surprise!
« Tu vas voir; Tu vas avoir d’autres moments cocasses ! »
Après m’avoir encore pincé, Florian s’attaqua à mon ventre.
Il alterna les caresses aux fesses et les pincements sur mes tétons.
Ne sachant ni bouger ni parler je me contentais de pousser des « mmmmmf » ce qui satisfaisait mon gardien.
« Continues a essayer de parler, j’adore ça ! »
Les caresses continuaient de plus belle et je me rendis compte que ça allait durer un bon bout de temps, et, effectivement, ce fut bel et bien le cas ; Visiblement, mon bondeur prenait un malin plaisir a tripoter et pincer le gentil prisonnier que j’étais devenu.

Enfin, Florian abandonna mon ventre pour me caresser la tête en douceur.
Ce fut pour moi un répit, et, une sensation très agréable ; Je peux vous dire que je prenais à ce moment là un vrai plaisir.
Il se mit aussi façe à moi et embrassa tendrement ma bouche bâillonnée par ses soins.

« Je descend deux minutes chercher mon appareil photo ; Il faut immortaliser ce moment merveilleux ! » Il dénoua la corde de son harnais et descendit au sol.
« Sois bien sage pendant mon absence ! »
Il prit l’escalier me laissant seul dans les airs!

Solitude...

Pendant quelques minutes, je me voyais conduisant ma voiture pour aller chez lui, et maintenant, je me voyais si bien arrangé par ses soins.
En baissant la tête, je voyais le sol à un bon mètre de mes pieds mais sans aucune possibilitééde l’atteindre.
Je pouvais aussi voir sans aucune difficulté les nombreuses cordes qui garantissaient une excellente immobilisation.
Il avait également pris soin a serrer efficacement la toile isolante autour de ma bouche et de mon menton; Quand au collant, il était très bien noué par dessus garantissant mon silence le plus total.
Etant complètement garrotté, je n’avais aucune possibilité d’ôter le bâillon.
Je n’avais donc que la possibilité d’attendre le retour de Florian, suspendu à un mètre du sol, ligoté et bâillonné, et, tournant sur moi-même lentement.

Les minutes passaient lentement ; Je me demandais ce qu’il faisait.
Ce n’était pas le moment pour qu’il ait un problème vu qu’il était le seul a pouvoir me libérer. Je tournais toujours lentement et quand j’arrivais a apercevoir l’escalier, force était de constater qu’il était vide de toute présence.
Je n’entendais aucun bruit, le silence était total hormis quelques crissements de la corde d’alpinisme qui me maintenait dans les airs.
Je commençais a m’inquiéter, je me mis donc a gigoter et a pousser des « mmmmmm » insistants mais c’était bien évidemment peine perdue.
En plus la maison ou j’étais prisonnier était isolée et avait des murs de pierre bien épais ; Autrement dit même si j’avais pu crier, cela n’aurait rien changé à cette fâcheuse situation ou m’avait mis Florian.

Quelques minutes passèrent encore entrecoupées des bruits de corde et de mes gémissements quand une violente chatouille au niveau de la plante de mes pieds se manifesta.
Mon bondeur était bel et bien là, et, je réalisais qu’il m’avait joué un fameux tour.
En fait, sitôt descendu, ce farceur prit son appareil photo, enleva ses chaussons pour ne pas faire de bruit et revint dans la pièce au moment ou je n’apercevais pas l’escalier.
Caché derrière un rideau, il avait pris un savoureux plaisir a me voir m'inquieter.

Un peu de chatouilles et de tendresse.

« Et maintenant les chatouilles pour mon gentil prisonnier ! »
Mes pieds étant idéalement placés à la bonne hauteur, mon geôlier s’en donna a cœur joie.
J’avais beau gigoter tant bien que mal, je ne pouvais échapper à ce supplice, et, le fait de ne pouvoir crier accentuait encore la sensation.
Les chatouilles étaient bien sur entrecoupées de moments de répits, mais de courte durée; Cela repartait de plus belle.
Ce fut un festival de « mmmmmmmmf » poussés avec désespoir.

Les chatouilles terminées, vint le moment de faire quelques photos souvenirs.
Une dizaine de clichés furent tirés, puis l’appareil fut posé sur un trépied.
L’escabeau permit a mon ligoteur de venir me rejoindre.
Sitôt la corde refixée à son harnais, Florian repoussa l’escabeau ;Nous étions à nouveau tous deux en l’air.
« Je t’avais dit que je te rendrais la monnaie de ta pièce gentil prisonnier ; Cela m’a fait fortement plaisir de te jouer cette bonne blague et puis un peu de solitude ça fait du bien de temps en temps ! »
Un « mmmmmm » contestataire de ma part fut ma réponse.
Il se mit façe à moi, et, me caressa le visage en douceur.
« Comment me faire pardonner ? » me demanda t’il avec un visage triste.
Je lui répondis par un « mmmmm » hésitant.
Mon bondeur continua de me caresser le visage tandis que son autre main s’attardait à nouveau sur mes fesses!

Ces caresses me firent passer un assez bon moment; J’éprouvais un réel plaisir a les subir en étant bondé.
M’entendant pousser des petits gémissements, Florian sourit.
« Comme tu es un très gentil prisonnier, je me dois te t’offrir un peu de tendresse ! »
Il se remit alors a embrasser ma bouche bâillonnée en douceur.
Je lui aurais bien rendu la pareille mais ma bouche cousue m’en rendait incapable.
Il défit le double nœud du collant, ôta ma cagoule, et, fit glisser le bâillon vers le bas découvrant ainsi la toile isolante fermant hermétiquement ma bouche.
Il m’embrassa sur le tape a plusieurs reprises pendant de longues minutes.

La pose et les choses serieuses!

Florian redescendit au sol et amena l’escabeau sous mes pieds afin que je puisse un peu me reposer.
« C’est l’heure de la pose mon petit bâillonné, et je vais en profiter aussi pour souffler ! »
Il pris encore quelques photos, puis s’installa sur une chaise et jeta un œil sur le journal.

Une dizaine de minutes plus tard il revint vers moi.
« Dis donc, tu as fameusement mouillé espèce de petit cochon ! »
« Tu n’as pas honte ? »
Je répondis par un « mmmm » embarassé.
« Ce n’est pas suffisant d’avoir mouillé, tu peut faire mieux et je vais t’y aider ! »
Un « mmmmmm » interrogatif fut ma réplique.

Florian, remonta sur l’escabeau, refixa la corde à son harnais et repoussa l’escabeau afin de reprendre la suspension.
En se mettant derrière moi, il rajusta la cagoule puis remonta le collant faisant office de bâillon ce qui me recouvrit à nouveau le visage hormis les yeux.
J’avais beau pousser un « mmmm » de protestation mon gardien s’empressa de refaire le double nœud bien serré.
En sentant le collant a nouveau bien noué autour de mon visage, je devinais que le moment ultime se rapprochait.
« C’est pour que tu n’aies pas froid ! »
Il se mit façe à moi et s’amusa a frotter son nez contre le mien puis se remit derrière.

Ses mains se baladèrent le long des cordes; En fait, il vérifiait que les liens étaient bien serrés.
Il en profita pour refaire solidement deux nœuds s’assurant ainsi que je subirais le reste de cette séance de bondage sans bouger.
A l’aide d’un mousqueton son harnais fut fixé au mien, puis, m’enserrant le corps avec des bras et jambes, il s’amusa a nous faire doucement balancer.

« Autant joindre l’agréable à l’utile ! »
« mmmmmmmmf »
Il recommença a me caresser le ventre ; Je répondis par de doux gémissements.
Des embrassades s’ensuivirent, c’était vraiment très plaisant.

Puis ses mains baladeuses descendirent du ventre et se rapprochèrent des zones les plus sensibles; Les choses serieuses arrivaient!
« Toi aussi tu pourras laver ton lycra après, tu n’y coupera pas ! »
J’opinai de la tête en sachant très bien ce que Florian allait me faire subir.
Le fait de ne pas pouvoir l’en empêcher m’excitait au plus haut point.

Au moment ou ses mains se mirent a caresser très doucement mes parties intimes je me mis a gémir de plus belle.
Le fait de ne pas pouvoir crier augmentait la sensation.
Pendant de longues minutes, je fus tripoté de cette façon douce qui faisait pourtant déjà un fameux effet; Je gémissais de plaisir.

Enfin ce fut au tour de mon sexe de se faire caresser.
Un « mmmmmmmmm » très ardent m’échappa.
Je voulais gesticuler mais les liens et le fait que mon bondeur m’enlaçait m’empêchaient de remuer.
Je n’avais plus qu’a subir ce délicieux supplice sans bouger ni parler.
Florian faisait de courtes pauses, puis reprenait le travail ponctué par des « mmmmmmmf » de plus en plus vaillants de ma part.
Au fil des minutes qui passaient, les caresses devenaient plus intenses, je gémissais de plus en plus fort!

Ce qui devait arriver...

Mon bondeur se saisit fermement de mon sexe, tandis que son autre main s’occupait du reste sensible.
Le mouvement de va et vient commença en douceur, le moment ultime approchait à grands pas, mon lycra ne serait plus propre longtemps!
Décidé a faire durer le supplice, mon bourreau prenait bien tout son temps.
Cela n’empêcha pas qu’à un moment donné, je sentis la sève commencer a monter tranquillement, je gémissais de plus en plus sous mon bâillon.

« Ca vient hein ? »
« MMMMMMMMMMMMMMMMM » et une série rapide de hochements de tête confirma la supposition.
Effectivement cela venait, la sensation devenait de plus en plus forte, je commençais a trembler tellement cela faisait de l’effet.

Il fit une dernière petite pose; Me caressa le visage, m’embrassa puis repris avec un plaisir non dissimulé le mouvement de va et vient.
La sensation devenait difficilement soutenable, je gémissais, je gigotais mais c’est tout ce que je savais faire.
Brusquement, mon corps se cabra, et, enfin, je sentis le liquide chaud sortir et se répandre dans mon collant.
Mes gémissements diminuaient, je cessais de trembler et de gigoter; Florian réalisa que j’avais mon compte.

« Voilà ton beau collant bien décoré prisonnier ! »
Je baissais la tête et effectivement, mon running était trempé et pas de sueur!
J’observais aussi les liens toujours bien serrés qui m’immobilisaient tellement bien.
Il resta quelques minutes encore derrière moi puis prit une chaussette de foot cachée dans une poche de son lycra et me banda les yeux.
« mmmmmmmmm »
« J’ai envie d’être le seul a t’admirer ! »

Mon ligoteur défit la corde qui tenait son harnais et retrouva le plancher des vaches.
Le moment était venu de faire une dernière série de photos.
J’entendit le déclic de l’appareil à plusieurs reprises.

« Avant de te détacher, je vais te laisser mariner un petit quart d’heure ! »
Il en profita pour se saisir de mes pieds afin de me faire légèrement balancer et tournoyer.
Je poussais un »mmmmmmf » surpris.
« Ce sera plus amusant comme ça ! »

Pendant 10 bonnes minutes, je tournais et balançais dans les airs, immobile, silencieux et aveuglé par la chaussette de foot ce qui avait le don de m’exciter à nouveau.
En entendant un léger bruit très cadencé et quelques gémissements, je compris que mon geôlier était en train de se palucher.
Un soupir de soulagement se fit rapidement entendre; Florian venait de jouir dans son lycra.

Mes pieds furent détachés, puis, lentement la corde me tenant en l’air fut relâchée et je redescendis à terre.
Mon bondeur me détacha les mains puis les bras et me fit asseoir.
Pendant qu’il me libérait les jambes et les chevilles j’enlevais le bâillon qui m’avait tenu au silence pendant plus d’une heure.

Avant d'aller se laver, nous en avons profité pour nous cajoler et nous embrasser tendrement.
Il ne nous restait plus ensuite qu'a se doucher, se changer et boire le verre de l'amitié.

Le moins que l’on puisse dire c’est que Florian avait prit sa revanche brillamment; Il m’avait attaché, bˆillonné, suspendu et tripoté pendant une grosse heure.

Avant de partir je le remerciai chaleureusement et lui promis que la prochaine fois qu’il viendrait chez moi je trouverais de quoi lui en faire voir des vertes et des pas mures!

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