Florian et Laurent en tête à queue!


Les joies du nylon...

Ayant déjâ eu quelques bonnes expériences avec Florian, et, comme nous avions l’occasion de nous rencontrer de temps à autre autour d’un bon verre, mon ami me fit une confidence.
Il connaissait un autre adepte de l’escalade adorant le bondage, et, l’avait ligoté sur son lit.
D’après ses dires, cet autre garçon prénommé Laurent avait adoré ce moment mais aurait voulu vivre quelque chose de plus fort et si possible en étant attaché avec Florian.
Je proposais à mon ami de faire d’abord une rencontre préliminaire à nous trois, pour définir ce que l’on allait faire.

Une semaine plus tard, nous nous sommes rencontrés au club d’escalade de Florian et Laurent.
En voyant que tous deux avaient la même taille une idée redoutable me vint à l’esprit.
Comme j’avais reçu un jour des collants en nylon (Très fins) que je n'employait jamais, je leur proposais de les utiliser en étant bondé en tête bêche, c'est-à-dire en sens opposés chacun.
Je ferais en sorte qu’ils seraient mis au parfum, je n’en dis pas plus car je voulais leur réserver la surprise.
Mes deux futurs ficelés donnèrent immédiatement leur accord ; J’insistais simplement pour que Florian apporte des cordes en plus car je n’en avais pas assez pour deux prisonniers.

Le rendez-vous.

Deux semaines plus tard, mes deux victimes se présentèrent à mon domicile.
Je les accueillis en portant un training et leur proposais d’aller d’abord au wc avant de passer à la suite des opérations.
Une fois cela fait, nous sommes tous trois montés au troisième étage dans la chambre ou j'avais déjà ligoté Florian.

Florian déballa ses cordes, moi je sortis les vêtements d’un tiroir.
J’avais préparé un nylon de couleur bleue pour l’un et vert pour l’autre.
Les bas de foot étaient de même couleur et j’exigeais de ne pas mélanger les couleurs pour une question d'estétisme.
Pour chacun des prisonniers, j’avais prévu un collant nylon, deux paires de chaussettes longues et un bas nylon couleur chair dont je ne donnais pas de détails sur son utilisation prévue.
Avant de les laisser se changer, j’insistai pour qu’ils gardent leurs t-shirt.

Je descendis à mon bureau, enleva mes baskets et mon training laissant découvrir un nylon noir très chouette.
J’enfilais une paire de longues chaussettes noires par-dessus le bas du collant et montais les rejoindre.
Florian en bleu et Laurent en vert m’attendaient...

Florilège de couleurs et bondage.

J’invitais Laurent a se mettre façe au mur les mains sur la tête ;Je fis enfiler la seconde paire de chaussettes à Florian recouvrant ses mains et bras de façon a ce qu’il soit tout a fait confiné.
« Mains derrière le dos ! » Dis je sèchement.
Florian s’exécuta et je ligotais de suite ses poignets.

J’obligeais ensuite Laurent a enfiler la paire de bas verte par-dessus ses mains et bras, et, quelques instants plus tard, les deux compères avaient leurs mains attachées derrière le dos.
Le temps de faire une première photo souvenir, et je commençais a lier les bras de Laurent.

Pendant ce temps là, Florian me demandait a quoi allait servir le bas nylon.
« Tu verras bien ! » lui répondis je.
Florian insistait mais je refusais de répondre.
Comme il insistait encore, une fois les bras de Laurent ficelés, je pris une chaussette en boule et ma toile isolante, je plaqua Florian contre le mur, mis la chaussette dans sa bouche et fis plusieurs tours de toile isolante autour de son visage.

Pendant que Florian poussait ses premiers « mmmmf » j’invita Laurent a s’allonger sur le ventre.
Je lui attachai ses jambes, ses genoux et ses pieds.
« Par faveur je ne te bâillonnerai que quand ton ami sera aussi totalement garrotté ! »
Il sourit.

La bouche déjà fermée, Florian subit le même sort que Laurent; Rapidement, je ligotais ses bras, jambes, genoux et pieds, puis, je revins vers Laurent.
« Il est l’heure de te fermer ta jolie bouche ! »
Il hocha de la tête et je me mis aussitôt en devoir de le bâillonner; Il eut droit aussi à la chaussette et à la toile isolante.
Ensuite, je recouvrai toute sa tête avec un des bas nylons assurant ainsi un bon confinement.
« Un mmmmmmmmf » salua cette trouvaille.
Le second bas fut destiné à Florian qui subit le même sort et se retrouva avec son visage recouvert à son tour.

Mes deux prisonniers étaient maintenant tout à fait à ma merci, bondés et parfaitement confinés.
Je voyais à leurs regards qu’ils étaient forts surpris et se demandaient ce qu’il allait advenir.
« Je vais vous laisser réfléchir une petit quart d’heure sur votre situation actuelle ! »
Ils poussèrent de vains gémissements.
« N’hésitez pas a essayer de parler, j’aime beaucoup çà! »
Des « mmmmf » râleurs me répondirent.
Je me mis à bouquiner pendant que mes deux prisonniers gigotaient dans leurs cordes et poussaient des gentils gémissements.

Je revins vers eux avec d’autres cordes.
Il me fallait les déplacer de façon a ce qu’ils soient disposés comme je l’avais imaginé; A savoir : Le visage en façe du sexe de l’autre.

Couchés sur le dos, je disposais donc les cordes pour relier le haut de leurs ventres respectifs au bas ventre du partenaire.
Je commençais donc a tendre les cordes tout en plaçant mes deux victimes de profil et chacun face à face.
Des « mmmmmmm » surpris et impressionnés furent poussés pendant la mise en place sublime.

Ils gémissaient de plus belle en se rapprochant l’un de l’autre et bientôt ils furent mis au parfum.
Florian et Laurent se retrouvèrent chacun avec leur nez contre les parties sensibles de l’autre et la bouche bâillonnée sur le sexe de l’autre.
Des « mmmmmmf » passionnés furent poussés.

A l’aide d’une longue corde, je les attachai ensuite l’un à l’autre au niveau du milieu du corps afin de parfaire leur « union ».
Ils réalisèrent qu’en bougeant leur bouche, ils tripotaient involontairement le sexe du partenaire.
Ce dernier remuant sous l’effet rendait la pareille.
Les gémissements devenaient intenses.

« Restez tranquilles tous les deux, ça prendra plus de temps ! »
Ca n’était certes pas é vident pour eux de se tenir tranquille mais ils comprenaient parfaitement qu’au plus long cela durerait, au meilleur ce serait.

Mes deux prisonniers se calèrent, et, le fait de sentir la délicieuse odeur de l’autre les excita tous deux au plus haut point, mais, mes paroles apaisantes faisaient qu’ils ne bougèrent pas trop.
Le fait que bientôt la sensation allait augmenter les rendait fous de bonheur.

Pendant un bon quart d’heure je les observais gémir doucement, collés l’un à l’autre, attachés comme deux saucissons et bâillonnés efficacement.
Je devinais a voir leur yeux couverts par le bas nylon, le moment de plaisir extraordinaire qu’ils vivaient tous deux.

Je me mis a leur caresser doucement leur dos ; Des gémissements me répondirent immédiatement.
Mes caresses devenant plus intenses les « mmmmmmmf » poussés par mes deux ligotés devenaient plus fort.

Pour les exciter au maximum, je me mis a chatouiller brusquement la plante des pieds de Florian.
Ce dernier en remuant brusquement la tête donna un plaisir fort à Laurent qui répondit a son tour en remuant le sexe de Florian.
Quelques secondes après je fis la même chose en chatouillant les pieds de Laurent, et, la même scène se produisit.
Le plus chouette, c'est qu'ils continuaient sur leur lancée, remuaient et se faisaient mutuellement plaisir.
J’observais la scène savoureuse que mon ligotage avait rendu possible, puis me décidais a accélérer le processus.

Les chatouilles des pieds reprirent de plus belle; Je passait rapidement des pieds d’un prisonnier à l’autre.
Cela les faisait remuer l’un sur l’autre de plus belle.

Encore quelques petits instants de répit, et, je réattaquais la plante de leurs pieds une bonne vingtaine de secondes sur l’un puis sur l’autre.
Des « MMMMMM MMMMM » de plus en plus forts sortaient des bouches bâillonnées, les corps des deux bondés gigotaient dans les cordes bien serrées; Je voyais à leurs yeux derrière le bas que le moment fatidique approchait à grande vitesse.

La première "sortie"!

Au moment de laisser un bref répit, Florian se làcha le premier.
Pour accentuer ses gigotements je me mis à chatouiller fortement ses pieds, il remua alors fortement sa bouche cousue sur le sexe de Laurent qui ne parvint plus à se contenir et làcha à son tour la purée.

Je m’assis sur une chaise et observais le spectacle.
Les gémissements et gigotements durèrent encore quelques minutes puis se calmèrent.
Je repris pendant quelques instants les chatouilles des pieds histoire de ne pas leur laisser trop vite de répit.

Entracte.

De doux gémissements emplissaient la pièce.
Je les détacherent l’un de l’autre et les remit sur le dos, puis, l’un après l’autre, je les empoignerent et les allongerent sur ma couchette côte à côte.
Une fois les captifs allongés confortablement, je pris deux chaussettes de foot et banda leurs yeux.
« C’est pour que vous puissiez vous reposer plus facilement ! »
De doux « mmmmm » me furent communiqués.

Partant du principe qu’ils étaient plus jeunes que moi, ils devaient avoir logiquement plus de puissance.
Donc, selon mon raisonnement, il devait encore y avoir du « stock a livrer »; Le tout était qu’ils se reposent un peu pour leur permettre de recharger leurs batteries.

Je pris un bouquin et les laissèrent tranquille un bon 20 minutes dans leurs collants décorés par leurs soins.
Quelques photos souvenirs furent tirées puis je me décidais a les rattacher ensemble.

La seconde "sortie"!

Toujours sur le lit, je les reliais dos à dos cette fois-ci.
J’attendis encore quelques minutes puis recommençai a tripoter en douceur leurs pieds.
Comme ils n’étaient plus tête bêche, la tache m’était rendue très facile au vu des quatre pieds au mème endroit.
Ils se mirent à nouveau à pousser de gentils petits cris étouffés par la toile isolante.

Enfin, après avoir ôté le bandeau recouvrant leurs yeux, je me mis à califourchon sur eux.
Je commençais a caresser les parties sensibles provoquant a nouveau des « mmmmmmmf » de satisfaction.
Après quelques minutes, je me saisis de leur sexes, et, j'attaquais simultanément a faire des va et viens.
« Vous êtes jeunes donc vous avez de quoi avoir du plaisir deux fois ! »
Des « mmmmmmf » saccadés mais aussi approbateurs me répondirent.

Au fur et a mesure des minutes qui s’écoulaient, je voyais leur regard observer le travail de mes mains; Ils gémirent de plus en plus sentant ce qui allait de nouveau arriver.
Ils remuaient tant bien que mal, gémissaient de plaisir tandis que le mouvement de mes mains s’accentuait, leurs yeux devenaient grand ouverts ce qui laissais présumer que le bon moment était au rendez-vous.

Les corps se cabrèrent, et, les deux prisonniers ne purent se retenir.
A quelques secondes d’intervalle, les sexes encollantés se vidèrent, les collants en nylon se remplirent à nouveau de foutre.
Ce fut bien entendu un nouveau festival de gémissements ardents.

Repos et délivrance.

Je détachais une nouvelle fois Florian et Laurent l’un de l’autre et les remis sur le dos.
Un bon vingt minutes de repos leur fut imposé par mes soins, les yeux à nouveau bandés.

Mes deux prisonniers se reposèrent donc, en gémissant de bonheur, en se frottant l’un à l’autre, j’entendais leurs collants crisser l’un sur l’autre; Visiblement je les avais comblés!

Il ne restait plus qu’a les libérer de ces cordes qui avaient parfaitement remplies leur office.
Je leur laissais le soin d’enlever le bandeau, le bas recouvrant la tête, le bâillon et la chaussette.
Les collants prirent immédiatement le chemin de la lessiveuse, les compères celui de la douche ou ils remirent leurs vêtements.
Florian me demanda de bientôt venir chez lui avec tous les collants en nylon et des cordes.
Il avait adoré le moment qu'il venait de passer, et, dores et déjàà me proposa de faire de même avec moi et son ami.
Laurent acquiesça de suite, et, je donnais également mon accord, et, ce d’autant plus que ce que j’avais fait vivre à mes deux compères, je ne l’avait pas encore subi.

Quelques bons verres de bière conclurent cet après-midi savoureux.

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