La chaise à Marco.


Dans la banlieue de la ville lumière...

Départ de Bruxelles un beau matin avec comme première partie de programme 1h22min de grande vitesse pour atteindre Paris-Nord.
Ensuite : Un petit tour en RER, et, un petit tour en métro, et, nous voilà sur place.
Après avoir noué contact, il ne restait plus qu'a faire une ballade à pied pour atteindre le repaire.

Arrivés sur place, il ne restait plus qu'a s'installer, boire un bon café, et, déterminer comment allait se faire la séance.
Mon compagnon exprima le souhait d'être bondé en étant assis; J'acceptais sa requête!

Ayant enfilé nos tenues, je me mis au travail sans plus tarder.
Une fois, les mains et bras du captif liés, et, m'occuppais de ses jambes et de ses chevilles.


Comme beaucoup de bondeur, je n'imagine pas ou difficilement un bondage sans bâillon.
La suite s'imposait donc d'elle même.


Sagement installé sur sa chaise, mon captif n'avait donc plus qu'a attendre la suite des opérations...


Malgré ce merveilleux moment que nous étions en train de vivre, je ressentais au fond de moi même quelque chose qui me tracassait...
En effet, malgré le nombre de cordes assurant l'immobilisation de mon prisonnier il manquait quelque chose...
Certes, si mon captif avait les mains, les bras, les pieds et les jambes liés, je me rendis compte qu'il avait beau être gentillement assis sur la chaise, il n'y était pas lié!

Un complément de bondage s'imposait donc.
Heureusemen que mon captif disposait de suffisamment de cordes!


Il va de soi qu'entre chaque complément de ligotage, mais mains avaient une facheuse tendance a se ballader là ou il le fallait!


Sagement assis, le captif ne pouvait qu'assister impuissant au complément de ligotage.


Maintenant totalementr fixé sur la chaise, je pouvait reprendre le caresses en toutes impunité!
Cet ainsi que se ponctua cette excellente séance!



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