La visite de Pierre.


Un délicieux après midi...

Pierre est un ami que j'ai déjà rencontré, à sa demande il a souhaité que je n'en dise pas trop; Je respecterai donc son désir.
Quoi qu'il en soit, je peut vous assurer que ce fut à nouveau un après midi très agréable.
Bref, une fois embarqué à la station de métro, nous étions rapidement arrivés.
Le temps de boire le verre de l'amitié et de parler de la façon dont allait se dérouler la session, et, nous n'avions plus qu'a monter dansma chambre.

Un peu de mimétisme.

Je venais de recevoir de nouveaux collants de lutte.
Dans mon esprit l'idée est alors venue de porter les même tenue pour le fun.
Pierre accepta mon initiative.
Il ne nous resta plus qu'a enfiler nos tenues avant de passer aux bonnes choses.

Maintenant vétus comme nous avions convenu, j'attachais prestement les mains de Pierre.
Une première longue corde me permit ensuite d'attacher ses bras, ce type de positionnement du lien s'appelle "Diamant".
Une seconde longue corde completa le travail de la première permettant ainsi uneparfaite immobilisation des bras.

Pierre fut allongé sur la couchette.
J'attaquais sans tarder le ligotage de ses jambes et de ses pieds.

Maintenant totalement ligoté, il ne restait plus qu'a réduire mon prisonnier au silence.
Je me permis néamoins de l'embrasser tendrement sur la bouche avant de la lui fermer.
Il méritait bien cela!

Pierre m'ayant dévoilé son intention de tenter de se libérer et de couiner, j'ai donc pris la décision de faire un ligotage costaud; Ce fut bel et bien le cas!
J'étais à présent sur qu'il resterait un gentil prisonnier tout au long de la séance.


Il ne restait plus qu'a réduire au silence mon ami.
J'introduisi une chaussette dans sa bouche et recouvrai le bas de son visage ainsi que son menton par de la toile isolante bien serrée.
Ainsi je savais que mon captif resterait durant toute la session un gentil prisonnier immobile et silencieux.
Bref, nous étions fin prêts pour passer un bon moment!


Pierre se tortilla pendant plusieurs minutes.
Pourtant, force lui était de constater que le bondage était efficace.
Il était sur et certain que mon travail de bondage allait me permettre de profiter pleinement de mon captif sans que ce dernier ne sache s'y opposer!
C'était bien évidemment le but recherché...



Je laissais Pierre tester l'efficacité de ses liens pendant un quart d'heure.
Ensuite, je le tourna sur le ventre; J'avais envie de lui caresser les fesses.


Après ces quelques gateries, je me décidai a mettre mon captif en Hogtie.
Cela permettait ainsi de m'offrir la possibilité de lui chatouiller les pieds.
Une seule corde me suffit a replier les jambes de mon prisonnier qui assista à ce complément de bondage sans bouger ni parler.
Dans cette position, Pierre était idéalement placé pour que je lui chatouille les pieds.
Je n'ai pu résister à la tentation!
Ainsi, Pierre poussa des "Mmmmmmmmmmmf" ardents sans pouvoir échapper aux chatouilles.



Un peu de calins!

Ayant défait le hogtie, je laissais tout d'abord mon captif se reposer quelques minutes.
Il n'était pas question pour autant de le liberer.
Aussi, Pierre se retrouva au repos immobile et silencieux.


Je ne peut cacher que j'étais heureux de revoir ce brave garçon!
Il m'avais en plus demandé que j'embrasse sa bouche bâillonnée; Je me fit un plaisir de satisfaire sa requete.


Non seulement je me fit un plaisir a embrasser mon captif, mais, avec son accord avant de commencer la session, je me colla contre lui.
Je peut vous assurer qu'à ce moment là nous nous sommes senti merveilleusement bien dans nos collants!


Il m'est difficile de vous dire combien de temps ce moment de calins et de bisous a duré, mais, ce fut magnifique.
Je prenais un malin plaisir a caresser, et, embrasser mon gentil prisonnier.
De son coté, Pierre prenait aussi son pied en subissant mes mains balladeuses et mes bisous, le tout sans bouger ni parler.

Pour finir en beauté...

Il était somme toute logique, de conclure cette séance de la manière la plus classique qu'il soit.
Une chaussette de foot servi a bander les yeux de Pierre.
Ensuite le traditionnel vibreur fut prestement inséré sous lycra à l'endroit qu'il fallait.


Maintenant totalement équipé pour le meilleur moment de la séance, je laissais mijoter ma victime quelques minutes avant d'activer le vibreur.

Enfin, la machine fut mise en fonction, et, au fil des minutes qui s'écoulaient, j'augmentais la puissance de l'appareil par phases successives.
Pierre subissais la délicieuse sensation en gigotant tant bien que mal et en poussant des géissements ardents!
Je pouvais être satisfait de mon travail de bondeur; Pierre avait beau avoir prétendu tout faire pour se liberer, les cordes efficacements serrées lui otaient cette possivilité.

Pour vaincre la résistance de mon gentil prisonnier, je me mis a faires des va et viens avec le vibreur.
Les gémissements se firent de plus en plus forts.


La suite s'imposait d'elle même.
L'effet vibrant ajouté à mes mouvements alternatifs eurent rapidement raison de la résistance de mon adorable capfif.
Pierre se cabra, et, dans un brusque mouvement de reins, lacha sa purée en poussant un dernier gémissement.


Le calme revint rapidement.
Je laissais mon bondé se reposer et mariner dans son foutre un petit quart d'heure.


Enfin, je défis le bandeau qui recouvrait ses yeux ainsi que le bâillon qui l'avait si bien réduit au silence.
Pierre fut délivré de ses nombreuses cordes.
Je l'invitais alors a prendre une bonne douche avant de se changer.

Il ne restait plus qu'a prendre le verre de l'amitié avant de le reconduire au métro.
J'espère revoir ce formidable garçon!

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